Audernier étage, une fenêtre s'ouvre. >>fra במלון, בידקו איפה נמצאת יציאת החירום לפני שתלכו לישון. À l'hôtel, vérifiez où est la sortie de secours avant d'aller au lit. Dans l'hôtel, vérifiez la sortie de secours avant d'aller vous coucher. >>fra אליס הולכת לישון בעשר. Alice
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10 45 autres photos. Situé à Charron, à 50 km de Montluçon, l'établissement La Toile sous Les Étoiles propose un jardin et une connexion Wi-Fi gratuite. Tous les logements comprennent un coin salon avec un canapé, un coin repas ainsi qu'une kitchenette entièrement équipée avec un micro-ondes, un réfrigérateur et des plaques de cuisson.
Etla paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ;
Lanuit sous les étoiles. Blague du jour . Publié le 08/06/2018 à 16:13, mis à jour le 11/06/2018 09:26 Blague du jour. Deux amis vont boire un verre dans une discothèque. Mais comme l’un
Vay Tiền Trả Góp 24 Tháng. Publié le 17 juil. 2020 à 600C'est une de ces douces soirées d'été, quand la brise parfumée d'herbe fauchée caresse la peau dorée par une journée de soleil, l'astre plongeant maintenant dans le sol gorgé de chaleur, quitte les sillons rosés du champ céleste sans nuages. Bientôt, on entend les crapauds s'animer et les enfants excités On peut dormir à la belle étoile ? » Transat déplié, bonnet sur la tête et sac de couchage remonté sur les oreilles, c'est parti pour une nuit au milieu des éléments. Tu suis le cycle de la nature, de l'air qui s'humidifie jusqu'aux gouttes de rosée le matin », observe Marine, qui a vécu sa première nuit sauvage en colonie de vacances. En guise de réveil le soleil qui vient lécher la figure, apprécie Flavien. Avec ce moment magique où tu te demandes où tu es », sourit le campeur de jardin. Des cernes noirs sous les yeux. Car la nuit n'est pas de tout repos, quand les sens excités prêtent attention au monde parallèle qui se réveille. Lorsqu'elle a dormi sur le toit d'un village en ruine perché sur une colline tunisienne, Claire a été marquée par les cris des chacals, qui résonnaient dans l'immensité du désert. Dans un jardin français, chauves-souris et rapaces sont de sortie. Entre le bruissement des feuilles, grillons, chouettes et grives donnent de la voix. À la saison des amours, on peut même entendre le troglodyte mignon ou le rossignol faire leur parade nuptiale, ou la rousserolle, qui brouille les repères en imitant d'autres oiseaux… L'oreille qui tient jusqu'au petit matin peut aussi s'amuser à suivre l'ordre d'entrée de chaque chanteur. Quand on dort dans un bois, les oiseaux sont hyperactifs le matin, dès 4 ou 5 heures », retient Olivier. Ce choeur de l'aube peut se manifester encore plus tôt, selon la luminosité et le bruit des activités filantes Le campeur est donc prévenu les nuits sont courtes. Surtout quand il n'est pas assez couvert, ce qui en a traumatisé plus d'un. Beaucoup attendent la période de canicule, quand l'étoile Sirius, de la constellation Canicula, ou Grand Chien canis, en latin, se lève en même temps que le Soleil. Mais une nuit fraîche, dégagée et sans Lune, précédée d'une averse, offre les meilleures conditions pour observer le ciel, car la chaleur n'est pas réverbérée sur le sol. L'hiver offre une meilleure visibilité que l'été », renchérit Laetitia Ferreri, animatrice à la Cité des sciences et de l'industrie. Les moins frileux remarquent ainsi que chaque mois connaît son bal d'étoiles filantes. Celui des Perséides est déjà ouvert et dure jusqu'à fin août. Mais c'est dans la nuit du 12 au 13 que ce sera le plus rock'n'roll, avec une centaine de météores à l' glossaire célesteAstéroïde. Masse rocheuse et métallique dont la taille peut atteindre plusieurs kilomètres. La ceinture principale se situe entre Mars et Météoroïde tellement dense qu'il peut être lumineux en plein jour. Phénomène rare. Quand les étoiles filantes se désagrègent entre 70 et 120 km d'altitude, les plus gros bolides peuvent être visibles à une vingtaine de kilomètres seulement, pendant une bonne trentaine de Masse rocheuse et glacée qui dérive autour du Poussière de Météore suffisamment gros pour ne pas être totalement désintégré dans l' Fragment d' le jeu incontournable des veilleurs compter les étoiles filantes. Et faire des voeux », précise Marine, qui pria une nuit pour que son chat revienne - voeu exaucé. Autre surprise, se souvient Flavien Je ne m'attendais pas à voir la Voie lactée, qui forme une traînée blanche bien visible à l'oeil nu. Tu te retrouves avec un fond d'écran devant les yeux ! Et comme le ciel occupe la totalité de ton champ de vision, tu as l'impression de décoller du sol. » Pour voir notre galaxie, il faut attendre une bonne heure que l'oeil s'adapte au noir. Mais ne pas attendre de trop vieillir la pupille se dilate moins avec l' et Victor HugoRegarder le ciel étoilé est une expérience temporelle qui sublime la patience C'est un plaisir d'attendre ; plus la nuit tombe, plus c'est beau. Tu ne te lasses pas de la beauté du ciel, qui est vivant. C'est un moment de poésie », souffle Flavien, qui évoque aussi la sensation physique ressentie, lorsqu'au milieu de la nuit, sa perception a basculé Au fil des heures, les constellations se déplacent, tu perçois bien la forme sphérique de la voûte céleste. Et là, tu ressens que ce n'est pas le ciel qui tourne, mais la Terre. C'est une sensation vertigineuse, qu'on a du mal à comprendre quand on ne l'a pas vécue. » Marine avait 8 ans lors de cette expérience philosophique C'est peut-être la première fois que j'ai compris que j'étais un peu une poussière dans l'histoire de l'univers. »C'est une impression de bien-être. C'est unique d'être là, seule, dans le silence, au milieu de nulle part Sur le pont d'un navire perdu dans l'océan, où on peut voir plus de étoiles contre une petite cinquantaine dans une grande métropole, le spectacle laisse sans voix Ah, c'est beau, décrit simplement Caroline, le regard perdu dans ses souvenirs. C'est une impression de bien-être. C'est unique d'être là, seule, dans le silence, au milieu de nulle part. » Elle en a écrit des odes à la nuit ». Les littéraires pensent aussi au Petit Prince de Saint-Exupéry ou citent Victor Hugo qui versifie la Lune, ce croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre ». Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,/Avait, en s'en allant, négligemment jeté/Cette faucille d'or dans le champ des étoiles… »Science et science-fiction Temps de réflexion existentiel, la nuit à la belle étoile est l'occasion de remuer ses méninges Tu savais que la Lune s'éloigne de nous de presque quatre centimètres par an, donc qu'un jour lointain, il n'y aura plus d'éclipse totale ? En attendant, elle se situe en moyenne à km de la Terre, ce qui veut dire que sa lumière met un peu plus d'une seconde à nous parvenir. Cette lumière vient du Soleil, vieille de huit minutes. A toi de calculer à quelle distance il se trouve 1 », lance le scientifique de la bande. Puis, on bascule dans la science-fiction Ca donne envie d'explorer les étoiles, on choisit la constellation qu'on aimerait habiter. On refait le monde », note Flavien, qui embraye sur un étrange phénomène observé une nuit d'été Un moment, dans le coin supérieur droit de notre champ de vision, une lueur très vive a allumé le ciel et s'est évanouie derrière les arbres. » Météoroïde ? Ovni ? En Bolivie, tous ceux avec qui j'ai abordé le sujet croient aux extraterrestres. »Dormir à la belle étoile©Kevin Lucbert pour Les Echos Week-EndMais regarder le lointain ramène toujours vers l'homme La nuit nous permet de voir les avions et les satellites, l'activité humaine. On pense au matériel qu'on laisse sur la Lune, aux détritus qui traînent dans l'espace… On se demande si on ne devrait pas laisser l'espace vierge de l'homme, mais on se dit que c'est tellement grand qu'on pourrait bien aller vivre, un jour, sur une autre planète, en la respectant mieux que celle-ci. On pense aussi à la pollution lumineuse et atmosphérique qui déstabilise les êtres vivants », médite Flavien, l'ingénieur, qui voit cette expérience de la nuit à la belle étoile comme un mélange entre introspection, débat avec ses compagnons de nuit… et confessions amour Car la nuit à la belle étoile rime avec amour. Pierre, trente ans plus tard, se souvient de l'évasion du dortoir et du sable encore chaud d'une plage de Porquerolles. Elle était anglaise. Je ne savais trop ce qui allait se passer… et puis… ça s'est passé. Pas besoin de lui décrire la Voie lactée ou la Grande Ourse », sourit-il. Après », ce fut la baignade, le lever du soleil et les oursins au petit-déjeuner, avant de rejoindre le réel…Pour séduire et impressionner sa moitié le moment venu, le planétarium de La Villette propose l'animation Pécho sous les étoiles », qui permet de se familiariser avec le ciel vous parlerez par exemple de votre signe du zodiaque, qui correspond à la constellation que le Soleil traversait au moment de votre naissance, selon le schéma élaboré par les Babyloniens voilà plusieurs millénaires. Mais savais-tu - direz-vous - que l'inclinaison de 23° de la Terre fait que l'alignement Terre-Soleil-constellation d'aujourd'hui ne correspond plus à l'alignement Terre-Soleil-signe du zodiaque ? Il a donc fallu en ajouter un treizième. Le signe astrologique du 17 juillet est le Cancer, mais le Soleil ne commencera à traverser cette constellation qu'à partir du 20 juillet, date placée sous le signe du Lion… » Vous bifurquez ensuite sur la scène romantique du Roi Lion en chantant L'amour brille sous les étoiles. Vous voilà feu !Encore faut-il choisir le bon endroit. Vincent se remémore ainsi une escapade de jeunesse, en Allemagne. Le soir, son frère et lui avaient trouvé un champ pour dormir à côté de la voiture. Mais une nuit, grosse frayeur aboiements de chiens, lampes torches et policiers arme au poing ! On avait été signalés par des locaux, ils nous prenaient pour des terroristes. C'était en pleine période de la bande à Baader», éclaircit celui qui a pu s'expliquer, avant de lui, avait décidé de rejoindre à vélo Poitiers et l'Espagne. Sans le sou, le jeune homme de 17 ans dormait dans un fossé, sac de couchage relié à son vélo par une ficelle, au cas où quelqu'un y toucherait ». Surtout, il n'avait pas de lampe torche, ce qui présageait quelques surprises comme la fois où il a découvert l'endroit qu'il avait chois pour dormir … Lui qui pensait être tranquille dans la forêt des Landes, fut réveillé en sursaut par des sirènes de pompiers. Je me suis rendu compte que j'étais installé près d'une caserne ! » Heureusement, le feu était plus sauvage les règlesIl est interdit de camper - dans les sites naturels classés ou en instance de classement,- aux abords des monuments historiques,- sur les rivages de la mer et à moins de 200 mètres des points d'eau utilisés pour la et à tout autre endroit indiqué par arrêté municipal, pour motifs environnementaux, commerciaux, esthétiques ou de sécurité et de salubrité tiques et oursJouer le jeu de l'immersion dans la nature promet des moments… mémorables On a déjà expérimenté de dormir sous la grêle. Les nuits sont longues ! » rigole Rémi Camus, qui anime des stages de survie où il n'est pas question de construire une cabane pour s'abriter avec du bois mort, ce peut être dangereux ; avec du bois vert, cela abîme la forêt. Les aventuriers doivent donc faire des quarts pour entretenir le feu protecteur du froid et des bêtes sauvages. La première chose à faire en Afrique quand le soir tombe, c'est d'allumer le feu pour éloigner les félins qui partent en chasse », signale le globe-trotteur. Et que faire face à un scorpion ? Le manger ! » Dormir à la belle étoile©Kevin Lucbert pour Les Echos Week-EndEn France, le danger N°1, ce sont les tiques, qui peuvent véhiculer la maladie de Lyme une inspection du corps s'impose à la fin du séjour. Dans la forêt canadienne, Alexandre a eu affaire à une plus grosse bête. Heureusement, il était dans sa tente lorsque l'ours - selon les locaux - est venu la gratter. Le campeur terrifié s'est alors surpris à pousser un cri surhumain, qui venait des profondeurs du ventre », qui a éloigné l'autre animal. L'ours a tout de même éventré sa moto. Une autre nuit, Alexandre préfère installer sa tente sur un parking isolé. Mais là, il vit une scène de polar J'entends la marche arrière d'un camion, qui recule doucement dans ma direction. Je me dis, c'est un psychopathe, il veut m'écraser'», s'amuse-t-il après coup. La nuit, tu es vulnérable, tout peut arriver. Et tu te fais des films », complète Solène. Son souvenir à elle de camping sauvage ? Dans les Alpes, au cours d'un périple de 650 kilomètres à pied des chèvres qui grignotent la tente au petit 5 étoilesLa tente protège peut-être des intempéries, mais elle empêche de voir le danger. Danger, selon Rémi Camus, moins redoutable dans la nature que près des hommes. La fois où l'explorateur a eu peur, c'est quand il s'est résigné, pour fuir un orage, à installer sa tente dans une aire de repos australienne. Vers 22 heures, j'entends des craquements à une quinzaine de mètres - la nuit, notre ouïe est facilement mise en alerte. Une personne tire sur une cigarette et tousse. Je demande gentiment qui est là, puis je l'entends bouger. Elle ne se manifeste pas. Je sors, je me vois encore le couteau à la main, crier 'Venez me voir, je ne vous ferai pas de mal !' Mais c'est moi qui devais être effrayant ! » commente le sportif. Malgré tous les déboires possibles, la nuit à la belle étoile reste un souvenir féerique. Quand tu es dans le désert australien, pas un bruit, la chaleur de la journée encore présente ; tu as mangé quelques grillons, les braises du feu montent dans le ciel et ajoutent des crépitements dans la rivière d'étoiles. Je n'en ai jamais vu autant de ma vie, tu as des étoiles filantes monstrueuses, qui durent deux, trois secondes. Cette immensité te ramène à l'essentiel », médite-t-il. Et même si le matelas est sommaire, l'aventurier aime rappeler la nuit en plein air, c'est l'hôtel le plus étoilé au monde !1 La vitesse de la lumière est de kilomètres par seconde. En une minute, elle parcourt donc 18 millions de kilomètres. En huit minutes, 144 millions. Le Soleil se situe donc à environ 150 millions de kilomètres de la le ciel d'étéQue peut-on voir à l'oeil nu dans l'hémisphère Nord ? La pluie d'étoiles filantes des Perséides, nommée ainsi car elle semble venir de la constellation de Persée. Une pluie de météores survient lorsque l'orbite de la Terre croise la trajectoire d'une comète, qui a laissé derrière elle des débris des météores. En entrant dans l'atmosphère terrestre à pleine vitesse, ces météores chauffés à blanc se désintègrent en une fraction de seconde en laissant derrière eux une traînée lumineuse. Les constellations La Grande Ours, la plus facile à repérer. Elle ressemble à une grande casserole, qui constitue le corps et la patte arrière d'un ours imaginaire. En reportant cinq fois le segment du bord extérieur de cette casserole vers le haut, on tombe sur l'étoile polaire, qui indique le triangle d'été, visible… seulement l'été. Cassiopée en forme de W», proche de l'étoile polaire. Orion, qui enferme en son sein la nébuleuse du même nom, nuage diffus d'étoiles naissantes. La Voie lactée La Terre est en périphérie de son univers, donc peut observer son centre lumineux. Les planètes Jupiter et Saturne sont visibles au crépuscule. En milieu de nuit, arrivent Mars et Vénus, l'étoile du Berger, qui rythmait la sortie ou la rentrée du bétail. Les planètes, contrairement aux étoiles, ne scintillent pas. C'est une façon de les identifier. Les satellites Plus de satellites opérationnels et quelque débris identifiés orbitent autour de la Terre. L'ISS, la station spatiale internationale postée à près de 400 kilomètres d'altitude et grande comme un terrain de football, file à 28 000 km/h pour faire 16 fois le tour de la Terre en une journée. Depuis le sol on peut facilement suivre des yeux le petit point lumineux mobile. De nombreux sites Internet et applications donnent leur position en temps réel. La compagnie privée SpaceX a aussi lancé son train de 25 satellites, Starlink.
Publié le 20/06/2022 à 0700 Autour du lac des Mines d'Or, à quelques minutes de Morzine, une bulle de 18 m² culmine à 6 mètres de hauteur dans les sapins. Bulles des Mines d'Or / Service de presse Au pied ou au sommet des massifs, quatre pistes pour une immersion revigorante. Avec pour seuls luxes, la simplicité et la nature en d'air à MorzineAutour du lac des Mines d'Or, à quelques minutes du centre de Morzine, Aurélie a installé une, deux puis trois bulles de 18 m² dont la dernière, complètement perchée, culmine à 6 mètres de hauteur dans les sapins. Entouré d'une passerelle en bois, ce dôme-cabane fondu dans la canopée accueille deux personnes au maximum. Le soir, on profite, au choix, d'un repas chaud pierrade, raclette… dans le chalet commun ou d'une planche savoyarde à emporter dans son nid avant de contempler les étoiles à travers la cime des arbres. Même principe pour le petit déjeuner mini-viennoiseries, pain frais, oranges à presser soi-même… que l'on grignote au milieu des écureuils et des oiseaux. Un jacuzzi avec vue, à deux pas, permet de profiter jusqu'au bout du plaisir de buller à la des Mines d'Or Tél. 06 82 66 46 34. 200 € la nuit avec petit déjeuner dans la Bulle perchée, 250 € avec le lire aussiAlpes du Nord dix hôtels de montagne où aller avec les enfantsBivouac autorisé dans le parc de la VanoiseDans le Parc national de la Vanoise, il suffit de réserver sa place pour se réveiller dans les alpages, au milieu des gentianes, des marmottes et des bouquetins. rêvez de planter votre tente en pleine nature pour vous réveiller dans les alpages, au milieu des gentianes, des marmottes et des bouquetins ? De camper près du lac du Lou ? De voir le soleil se lever sur la Grande Casse ? De petit-déjeuner au pied du mont Pourri ? C'est possible mais réglementé ! Du 1er juin au 30 septembre, le Parc national de la Vanoise autorise le bivouac autour de 23 refuges, moyennant 5 euros de redevance par personne et l'utilisation d'une tente compacte à ranger avant 8 heures du matin. Pour en bénéficier, il suffit de réserver sa place » sous les étoiles en amont. On profite ensuite, si besoin, de la salle hors-sac, des sanitaires, voire d'une formule demi-pension et d'un pack incluant tente, couverture et matelas à retirer sur place. Quel bonheur de camper en liberté !À lire aussiDes Alpes aux Pyrénées, quatre nouvelles randonnées à tester cet étéAmbiance vénitienne à ChanazLa microcité savoyarde accueille, dès ce printemps, une adresse de caractère avec 25 chambres et 11 appartements. Shana Hôtel & Résidence / Service de presseAtout charme de la Chautagne, en Savoie, l'adorable village de Chanaz se découvre tout au bout du canal de Savières, trait d'union aquatique entre le lac du Bourget et le Rhône, dans un entrelacs de venelles sinueuses, de maisons anciennes et d'échoppes d'artisans venus ressusciter ici d'anciens métiers moulinier, torréfacteur, savonnier…. La bonne nouvelle ? Jusqu'alors assez peu dotée en hébergements de caractère, la microcité accueille dès ce printemps, en lieu et place de l'ancien chantier naval, une nouvelle adresse de poche écoconçue de 25 chambres et 11 appartements le Shana Hôtel. Idéal pour faire escale, à deux ou en famille, à quelques coups de pédales seulement de la ViaRhôna et de la Hôtel & RésidenceTél. 04 58 39 01 15. À partir de 95 € la lire aussiL'été en Savoie Mont-Blanc, entre sites incontournables et repaires sauvagesGreen fizz à Saint-Martin d'UriageDans une ancienne bâtisse des années 1920, le doublement étoilé Christophe Aribert vient d'ouvrir sa Maison du Chef. Maison Aribert / Service de presseAu pied des massifs du Vercors, de Belledonne et de la Chartreuse, le chef Christophe Aribert, doublement étoilé et ultra-engagé en matière de responsabilité environnementale label Plastic Free, carte locavore, sélection de produits naturels, artisanaux et éthiques… vient d'ouvrir sa Maison du Chef, dans une ancienne bâtisse des années 1920. À quelques pas seulement du bâtiment principal, déjà doté de cinq chambres, du café A et de la table gastronomique, le lieu abrite quatre chambres aux couleurs tendres, une cuisine partagée, une tisanerie et un espace bien-être avec bains de relaxation. Un cocon de douceur entouré de verdure parc, potager, serre, arbres fruitiers… pour apaiser le corps et l' AribertTél. 04 58 17 48 30. Compter entre 210 et 490 € la chambre double dans La Maison du lire aussiVercors familiale, incontournable ou sportive, trois randonnées itinérantes à faire
[Moha]6 du mat', mes yeux s'ouvrent puis j'tire la couetteSon visage m'embête, puis j'avance et puis je m’endetteJ'ouvre mes volets vers le ciel, je lève ma têteMon sheitan à gauche voudrait me rendre malhonnête Je sais j'ai million d’ennemis, ouais j'ai million de soucisMais non j'ai pas un mauvais fondEt dans la merde je tourne en rond-ond-ondC'est une fois les choses faites que je me remets en questionJ'ai qualités et j'ai défautsLa vie est triste, le ciel est beauDis-leur "TahYo", c'est le bon cœur avant tout parce que le Bon Dieu voit toutEux ils me détestent, ils ne savent pas pourquoiMais ils se cachent, ils font les sournoisEt sur moi ils viendront ré-tiL'importance c'est que ma mif' s'en tireJ'ai connu des gens, je ne peux plus les sentir[Refrain Moha]Marre d'être en bas bas, bas, bas, bas, basLoin des étoilesIl est temps de mettre les voiles les voiles, les voilesJ'cherche la moula-la-la-la-la-laLoin des étoilesIl est temps de se faire la malle la malle, la malleLoin des étoilesLoin des étoilesIl est temps de se faire la malleIl est temps de se faire la malleLoin des étoiles[Lazer]Ces bâtards n'en peuvent plus parce qu'on vient de la rue et on fait la uneComme d'hab ils parlent sur moiÀ croire que je fais de l'ombre à la LuneOuais c'est vrai, moi j'ai connu la hassDes rêves plein la tête, dans les poches pas un rondMais hamdoulah, moi j'attends pas les donsJ'préfère braquer que dormir sous les pontsLoin des étoiles, des soucis et des ballesJ'veux plus voir de larmes, j'veux plus faire de malMais après tout, moi je viens de la tess'La seul devise, c'est "on encaisse"Roule un pet' sur un compet'Pendant ce temps là, le commissaire te guetteJ'connais les hommes, la vieLe biff', le vice, le monde, la nuitLe mal m'envie[Refrain Moha]Marre d'être en bas bas, bas, bas, bas, basLoin des étoilesIl est temps de mettre les voiles les voiles, les voilesJ'cherche la moula-la-la-la-la-laLoin des étoilesIl est temps de se faire la malle la malle, la malleLoin des étoilesLoin des étoilesIl est temps de se faire la malleIl est temps de se faire la malleLoin des étoiles
Avant d’aller dormir, sous les étoiles, Doux Maître, humblement à genoux, Tes fils t’ouvrent leur cœur sans voile, Si nous avons péché, pardonne-nous ! Éloigne de ce camp le mal qui passe, Cherchant dans la nuit son butin. Sans toi, de toutes ces menaces, Qui nous protègera, Berger divin ? Protège aussi, Seigneur, ceux qui nous aiment, Partout garde-les du péril. Pitié pour les méchants eux-mêmes Et paix à tous nos morts, ainsi soit-il.
À MADAME DE P***. Il est pour la pensée une heure… une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux. On voit à l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traîne, Balayer lentement le firmament obscur, Où les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sème en tourbillons dans le brillant espace. L’œil ébloui les cherche et les perd à la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un céleste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière, Déroulent à longs plis leur flottante crinière ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant à demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’Océan aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaît le nombre, et la distance, et l’âge Les uns, déjà vieillis, pâlissent à nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, Lèvent un front riant de grâce et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraîches clartés, Étonnent tout à coup l’œil qui les a comptés. Dans l’espace aussitôt ils s’élancent… et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-né, les salue et les nomme. Quel mortel enivré de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chœur suprême, Ne l’a pas consacré du nom de ce qu’il aime ? Moi-même… il en est un, solitaire, isolé, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolé, Et dont l’éclat, voilé des ombres du mystère, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-être… ah ! puisse-t-il au céleste séjour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zéphyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur où le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mâts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gémissements ; Et l’homme, sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, où donc allons-nous tous ? Quel est le port céleste où son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l’immensité des débris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute ! Cet océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vérité la lumière est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la prière, l’amour, Et, quand l’œil attendri s’entr’ouvre à leur lumière, Attirent une larme aux bords de la paupière ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu’on regrette, Et le vol enflammé de l’aigle et du poëte, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous êtes un séjour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel, dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-être, à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. Hélas ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmuré tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller près de la terre ; J’aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prés, à flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu’un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l’infini lancée ; Mon rayon, pénétré d’une sainte amitié, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d’amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre. Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sécherais leurs pleurs, et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupière attendrie, Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraîne ; Vous guideriez mon œil dans ce vaste désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd Vos rayons m’apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartés, Je sentirais en lui… tout ce que vous sentez. Huitième méditation Alphonse de Lamartine
avant d aller dormir sous les etoiles