Laseule chose qui me semble irrĂ©alisable pour l'instant est le papier "nuit torride" car elle n'est pas prĂȘte Ă  ça pour l'instant. Elle me l'a dit, "je suis prĂȘte Ă  faire des efforts mais ne pense pas que nous allons faire l'amour dans 2 jours". Chose que je comprend car son dĂ©sir doit ĂȘtre au point zĂ©ro. En effet, ne lui ayant que trĂšs peu fait ressentir mes sentiments, elle a Lafin d'une chose vaut mieux que son commencement! Nous y voilĂ , fin du mandat 2021-2022 au Rotary International. Que de belles actions rĂ©alisĂ©es au La fin d'une chose vaut mieux que son commencement! Nous y voilĂ , fin du mandat 2021-2022 au Rotary International. Que de belles actions rĂ©alisĂ©es au Liked by Michel ETTIEN. Du service Ă  l’imagination, il n’y Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Toutechose retourne Ă  Dieu, ou en d’autres termes : on doit se rĂ©fĂ©rer Ă  Lui en toute chose, ou bien : tous les hommes seront ramenĂ©s devant Lui au Jour de la RĂ©surrection pour ĂȘtre jugĂ©s Ă©quitablement sans lĂ©ser personne en quoi que ce soit, ne serait ce du poids d’un atome ( ou d’une petite fourmi ). Une rĂ©alitĂ© confirmĂ©e par ce verset : LECOMMENCEMENT DE LA FIN. LE COMMENCEMENT DE LA FIN : INTERVIEW D’ODILE CHABRILLAC SUR LA SORTIE DE SON ROMAN ( Cliquez ici ) Odile est une amie. Elle Ă©crit de nombreux livres, passe Ă  la TĂ©lĂ©, reçoit dans son cabinet de Naturopathie. C’est une femme extraordinaire. Vay Nhanh Fast Money. Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC EcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abattra la fermetĂ© de son Martin - 1744 - MAREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose, que son commencement. Mieux vaut l’homme qui est d’un esprit patient, que l’homme qui est d’un esprit - 1811 - OSTEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHEcclĂ©siaste fin d’une chose vaut mieux que son commencement, l’humeur patiente est meilleure que l’humeur Évangiles de FĂ©licitĂ© Robert de Lamennais - 1846 - LAMEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut patience que prĂ©somption. –Bible de Lausanne - 1872 - LAUEcclĂ©siaste vaut l’issue d’une chose que son commencement. Mieux vaut l’esprit patient que l’esprit Testament Oltramare - 1874 - OLTEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !John Nelson Darby - 1885 - DBYEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Stapfer - 1889 - STAEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible AnnotĂ©e - 1899 - BANEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement, et mieux vaut l’esprit patient que l’esprit testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKEcclĂ©siaste fin d’une entreprise est prĂ©fĂ©rable Ă  son dĂ©but ; un caractĂšre endurant l’emporte sur un caractĂšre et Vigouroux - 1902 - VIGEcclĂ©siaste vaut la fin d’un discours que le commencement. Mieux vaut l’homme patient que l’ Louis Claude Fillion - 1904 - FILEcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abat la force de son Segond - 1910 - LSGEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRAEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Pirot-Clamer - 1949 - BPCEcclĂ©siaste la fin d’une chose que son commencement, - mieux vaut la patience que la de JĂ©rusalem - 1973 - JEREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son dĂ©but, mieux vaut la patience que la Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Segond Nouvelle Édition de GenĂšve - 1979 - NEGEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit AndrĂ© Chouraqui - 1985 - CHUEcclĂ©siaste vaut l’avenir d’une parole que son en-tĂȘte. Mieux vaut longueur de souffle que hauteur de Évangiles de SƓur Jeanne d’Arc - 1990 - JDCEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Les Évangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible des Peuples - 1998 - BDPEcclĂ©siaste Ă  bien une entreprise vaut mieux que la commencer c’est la persĂ©vĂ©rance qui compte, et non la 21 - 2007 - S21EcclĂ©siaste vaut l’aboutissement d’une affaire que son dĂ©but. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit James en Français - 2016 - KJFEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Septante - 270 avant JĂ©sus-Christ - LXXEcclĂ©siaste áŒÏ‡ÎŹÎ· Î»ÎłÎœ ᜑπáœČρ ጀρχᜎΜ Î±áœÎżáżŠ áŒ€ÎłÎ±ÎžáœžÎœ ΌαÎșÏÎžÏ…ÎŒÎż ᜑπáœČρ ᜑψηλ᜞Μ Vulgate - 1454 - VULEcclĂ©siaste est finis orationis quam principium melior est patiens arroganteAncien testament hĂ©breu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSEcclĂ©siaste ڐַڗÖČŚšÖŽÖ„Ś™ŚȘ Ś“ÖŒÖžŚ‘ÖžÖ–Śš ŚžÖ”ÖœŚšÖ”ŚŚ©ŚÖŽŚ™ŚȘÖčÖ‘Ś• ژÖčքڕڑ ŚÖ¶ÖœŚšÖ¶ŚšÖ°ÖŸŚšÖ–Ś•ÖŒŚ—Ö· ŚžÖŽŚ’ÖŒÖ°Ś‘Ö·Ś”ÖŒÖŸŚšÖœŚ•ÖŒŚ—Ö·ŚƒNouveau testament grec - 2010 - SBLGNTEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction ! Versets les plus Pertinents ÉsaĂŻe 4610 J'annonce dĂšs le commencement ce qui doit arriver, Et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli; Je dis Mes arrĂȘts subsisteront, Et j'exĂ©cuterai toute ma volontĂ©. Apocalypse 2213 Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 2214 Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit Ă  l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville! Apocalypse 18 Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui Ă©tait, et qui vient, le Tout Puissant. 1 Samuel 312 En ce jour j'accomplirai sur Éli tout ce que j'ai prononcĂ© contre sa maison; je commencerai et j'achĂšverai. Job 87 Ton ancienne prospĂ©ritĂ© semblera peu de chose, Celle qui t'est rĂ©servĂ©e sera bien plus grande. Apocalypse 216 Et il me dit C'est fait! Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Apocalypse 117 Quand je le vis, je tombai Ă  ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant Ne crains point! Apocalypse 28 Écris Ă  l'ange de l'Église de Smyrne Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui Ă©tait mort, et qui est revenu Ă  la vie ÉsaĂŻe 446 Ainsi parle l'Éternel, roi d'IsraĂ«l et son rĂ©dempteur, L'Éternel des armĂ©es Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu. ÉsaĂŻe 4812 Écoute-moi, Jacob! Et toi, IsraĂ«l, que j'ai appelĂ©! C'est moi, moi qui suis le premier, C'est aussi moi qui suis le dernier. ÉsaĂŻe 414 Qui a fait et exĂ©cutĂ© ces choses? C'est celui qui a appelĂ© les gĂ©nĂ©rations dĂšs le commencement, Moi, l'Éternel, le premier Et le mĂȘme jusqu'aux derniers Ăąges. EcclĂ©siaste 311 Il fait toute chose bonne en son temps; mĂȘme il a mis dans leur coeur la pensĂ©e de l'Ă©ternitĂ©, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'Ă  la fin. EcclĂ©siaste 78 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. EcclĂ©siaste 1013 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une mĂ©chante folie. Matthieu 208 Quand le soir fut venu, le maĂźtre de la vigne dit Ă  son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. HĂ©breux 73 qui est sans pĂšre, sans mĂšre, sans gĂ©nĂ©alogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce MelchisĂ©dek demeure sacrificateur Ă  perpĂ©tuitĂ©. Alpha et Omega Dieu, l'Éternel DĂ©but EternitĂ©, Nature de l' Fin Histoire JĂ©sus Christ, EternitĂ© de Le Future Les Nouveaux Commencements Les RĂ©vĂ©lations Noms et Titres pour le Christ PrĂ©existence du Christ Un Nouveau Commancement bonne renommĂ©e vaut mieux qu'un bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. vaut aller Ă  la maison de deuil qu'aller Ă  la maison de festin. Car dans la premiĂšre apparaĂźt la fin de tout homme, et le vivant y applique son coeur. vaut la tristesse que le rire, car un visage triste fait du bien au coeur. coeur des sages est dans la maison de deuil, et le coeur des insensĂ©s dans la maison de joie. vaut entendre la rĂ©primande du sage que d'entendre la chanson des insensĂ©s. semblable au pĂ©tillement des Ă©pines sous la chaudiĂšre est le rire des insensĂ©s c'est encore lĂ  une vanitĂ©. l'oppression rend insensĂ© le sage et les prĂ©sents corrompent le coeur. vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. te hĂąte pas dans ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensĂ©s. dis pas "D'oĂč vient que les jours anciens Ă©taient meilleurs que ceux-ci?" Car ce n'est pas par sagesse que tu interroges Ă  ce sujet. sagesse est bonne avec un patrimoine, et profitable Ă  ceux qui voient le soleil. telle la protection de l'argent, telle la protection de la sagesse; mais un avantage du savoir, c'est que la sagesse fait vivre ceux qui la possĂšdent. l'oeuvre de Dieu qui pourra redresser ce qu'il a courbĂ©? jour du bonheur, sois joyeux, et au jour du malheur, rĂ©flĂ©chis Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne dĂ©couvre point ce qui doit lui arriver. ceci, je l'ai vu au jour de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit dans sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge sa vie dans sa mĂ©chancetĂ©. sois pas juste Ă  l'excĂšs, et ne te montre pas sage outre mesure pourquoi voudrais-tu te dĂ©truire? sois pas mĂ©chant Ă  l'excĂšs, et ne sois pas insensĂ© pourquoi voudrais-tu mourir avant ton temps? est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne relĂąches pas ta main de cela, car celui qui craint Dieu Ă©vite tous les excĂšs. sagesse donne au sage plus de force que n'en possĂšdent dix chefs qui sont dans la ville. il n'y a pas sur terre d'homme juste qui fasse le bien sans jamais pĂ©cher. fais pas non plus attention Ă  toutes les paroles qui se disent, de peur que tu n'entendes ton serviteur te maudire; ton coeur sait que bien des fois aussi tu as maudit les autres. reconnu vrai tout cela par la sagesse; J'ai dit "Je veux ĂȘtre sage!" Mais la sagesse est restĂ©e loin de moi. qui arrive est lointain, profond, profond qui peut l'atteindre? me suis appliquĂ© et mon coeur a cherchĂ© Ă  connaĂźtre, Ă  sonder et Ă  poursuivre la sagesse et la raison des choses, et j'ai reconnu que la mĂ©chancetĂ© est une dĂ©mence, et qu'une conduite folle est un dĂ©lire. j'ai trouvĂ© plus amĂšre que la mort, la femme dont le coeur est un piĂšge et un filet, et dont les mains sont des liens; Celui qui est agrĂ©able Ă  Dieu lui Ă©chappe, mais le pĂ©cheur sera enlacĂ© par elle. j'ai trouvĂ© ceci, dit l'ÉcclĂ©siaste, en considĂ©rant les choses une Ă  une pour en dĂ©couvrir la raison, que mon Ăąme a constamment cherchĂ©e, sans que je l'aie trouvĂ©e J'ai trouvĂ© un homme entre mille, mais je n'ai pas trouvĂ© une femme dans le mĂȘme nombre. vois, j'ai trouvĂ© ceci c'est que Dieu a fait l'homme droit, mais eux cherchent beaucoup de subtilitĂ©s. Qui suis-je? BĂ©bĂ© Grossesse Ma santĂ© enceinte Mes trimestres de grossesse Vie pratique et grossesse Parents Éducation Vie de couple Motherhood Forums Domi YodĂ© Recherche Jour Nuit Domi YodĂ© Recherche The most discussed topics đŸ”„ Maman inquiĂšte ou Maman confiante ? 0 Mom also needs a Break ! 11 Ne dit-on pas que la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ? ïżŒ 4 Je suis enceinte !!! 5 1 post Motherhood 3 Mom also needs a Break ! Et cela Ă  chaque journĂ©e 😌 pardomiyode11 15/07/20224 minutes de lecture Chapitre 7 Le caractĂšre de plus en plus proverbial des chapitres qui suivent nous oblige Ă  les considĂ©rer d’une maniĂšre beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Ce chapitre introduit un nouveau sujet que l’on pourrait intituler La conduite de la sagesse dans un monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait, c’est-Ă -dire au milieu de ce qui n’est que vanitĂ©, douleur et folie. Dans les v. 1-9, nous voyons qu’il y a dans ce monde des choses qui valent mieux que d’autres. MalgrĂ© tout le dĂ©sordre et la ruine le sage s’appliquera Ă  les rechercher et y trouvera son profit. Nous avons dĂ©jĂ  constatĂ© une pensĂ©e semblable au chap. 49-14. Ici les choses profitables sont beaucoup plus accentuĂ©es et se trouvent en opposition directe avec ce que le monde choisit ou prĂ©fĂšre. Le sage se trouve nĂ©cessairement isolĂ© dans un monde oĂč rĂšgne la mort, fruit du pĂ©chĂ©. Mais cette scĂšne elle-mĂȘme lui offre des choses meilleures. Elles sont au nombre de sept, chiffre des choses complĂštes. 1° Mieux vaut une bonne renommĂ©e que le bon parfum». En Prov. 221, la bonne renommĂ©e parmi les hommes vaut mieux que de grandes richesses; ici elle est considĂ©rĂ©e des yeux de Dieu et vaut mieux devant Lui que l’huile parfumĂ©e dont Ă©taient oints les sacrificateurs pour accomplir leur service Ex. 3023-33. C’est par lĂ  que commence l’activitĂ© du sage. 2° Et le jour de la mort que le jour de la naissance». Cette pensĂ©e fait suite au n° 1. Arriver au jour de la mort ayant rĂ©alisĂ© une rĂ©elle consĂ©cration Ă  Dieu vaut mieux que l’entrĂ©e dans le monde. Deux fois, dans la vie du sage, cette derniĂšre lui avait fait dĂ©sirer de n’ĂȘtre jamais nĂ© 43; 64, 5. 3° Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que lĂ  est la fin de tout homme; et le vivant prend cela Ă  cƓur». Dans ce monde oĂč la mort domine, la maison oĂč le deuil est entrĂ© vaut mieux que celle oĂč rĂšgne la joie. Il convient au sage de frĂ©quenter la premiĂšre, car il s’y trouve en prĂ©sence de la rĂ©alitĂ©, de la fin de tout homme, consĂ©quence du pĂ©chĂ© qui rĂšgne dans le monde. Le vivant prend cela Ă  cƓur; il voit oĂč aboutit tout le travail de l’homme sous le soleil; il ne nourrit pas des espoirs et des projets que la mort peut anĂ©antir. 4° Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cƓur est rendu meilleur par la tristesse du visage. Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des sots, dans la maison de joie». Assister au chagrin d’autrui, voir les larmes couler, rend le cƓur meilleur, le dispose Ă  la sympathie, le pousse Ă  offrir des consolations. Il en est de mĂȘme, non seulement pour celui qui voit souffrir, mais aussi pour celui qui souffre. C’est par la tristesse du visage que Dieu agit sur le cƓur de l’homme pour lui faire trouver des choses meilleures. DisposĂ© ainsi, le cƓur des sages est dans la maison de deuil; c’est le lieu oĂč les affections peuvent ĂȘtre en exercice. Le cƓur des sots ne connaĂźt rien de ces bĂ©nĂ©dictions; la joie d’un moment leur suffit. Qu’en restera-t-il? N’est-ce pas le texte mĂȘme de l’EcclĂ©siaste? Celui qui mĂšne le deuil est estimĂ© bienheureux par le Seigneur, car il sera consolĂ© Matt. 54; et, pour le chrĂ©tien une bĂ©nĂ©diction descend sur lui de la part du Dieu de toute consolation, et cette consolation est Ă©ternelle 2 Thess. 216. 5° Mieux vaut Ă©couter la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’écouter la chanson des sots. Car comme le bruit des Ă©pines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité». Les sages profitent des expĂ©riences qu’ils ont faites, pour conduire leur prochain dans le droit chemin. Ils ont acquis l’autoritĂ© pour reprendre et redresser. Il vaut mieux les Ă©couter et en faire son profit que d’écouter la chanson des sots sons agrĂ©ables Ă  l’oreille, mais qui n’ont pas plus de sens que ceux qui les Ă©mettent. Le rire du sot ne dure pas; il s’éteint bien vite comme un feu d’épines sous la marmite; il ne bruit et ne flambe qu’un instant. AprĂšs, tout retombe dans le silence de la mort. Cela aussi est vanitĂ©. 6° Certainement, l’oppression rend insensĂ© le sage, et le don ruine le cƓur. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement». Il y a pour le sage deux dangers dans ce monde. D’abord l’oppression qui le rend insensĂ© en le poussant Ă  la rĂ©volte, quand il voit toutes les injustices qui se commettent sous le soleil cf. 41-3. Ensuite, danger plus grand encore, le don par lequel le cƓur se laisse corrompre et pousser aux pires actions. Tels sont du reste toujours les deux moyens employĂ©s par Satan pour perdre les hommes la violence et la corruption ou la ruse. C’est pourquoi la fin vaut mieux que le commencement. Un cƓur qui a eu affaire au mal sans colĂšre et sans rĂ©volte, qui a refusĂ© les prĂ©sents et ne s’est pas laissĂ© sĂ©duire, arrive vainqueur au bout de l’épreuve et telle Ă©tait la fin que Dieu voulait produire1. 1 Telle est du moins l’explication de ce passage difficile que nous soumettons au lecteur chrĂ©tien. 7° Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hĂąte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des sots». Dans toutes ces Ă©preuves, le sage a appris la patience; il ne s’est pas Ă©levĂ© devant le mal et contre lui. La patience est toujours humble, douce, paisible; elle sait souffrir; elle atteint les choses promises HĂ©breux 615. La patience est le caractĂšre mĂȘme du Christ. Celui qui est patient ne se hĂąte ni ne s’irrite. Merveilleux tableau de la vie du sage au milieu de circonstances, fruit du pĂ©chĂ©, et qui sont toutes faites pour provoquer sa colĂšre, l’irriter ou le sĂ©duire. Il traverse un monde dont il connaĂźt bien le caractĂšre, n’y attend que souffrance, mais en est victorieux en suivant des principes diamĂ©tralement opposĂ©s Ă  tout ce qui dirige les hommes. v. 10-12. Il n’est pas sage de dire que le temps passĂ© Ă©tait meilleur que le prĂ©sent, chose que tous les hommes non pas les sages sont toujours portĂ©s Ă  penser. Dire cela n’est pas la sagesse, car elle a un jugement clair sur l’état du monde, et ce serait en contradiction avec tout ce que le PrĂ©dicateur nous a appris quand il a prononcĂ© le terrible mot Vanité» sur tout ce qui est sous le soleil depuis la chute. Si tout est perdu et corrompu, il reste une chose aussi bonne qu’un hĂ©ritage, la possession de la pensĂ©e divine. Elle est profitable; elle met Ă  l’abri, de la mĂȘme maniĂšre que, dans l’ordre des choses humaines, les richesses mettent Ă  l’abri. Elle est, de fait, la seule permanente richesse. Bien plus, elle est une source de vie pour celui qui la possĂšde. Combien plus nous, chrĂ©tiens, pouvons-nous dire La sagesse fait vivre celui qui la possĂšde», nous qui possĂ©dons Christ, la sagesse de Dieu I Cor. 124. v. 13, 14. ConsidĂšre l’Ɠuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu? Au jour du bien-ĂȘtre, jouis du bien-ĂȘtre, et, au jour de l’adversitĂ©, prends garde; car Dieu a placĂ© l’un vis-Ă -vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien de ce qui sera aprĂšs lui». Le sage continue Ă  se mouvoir au milieu d’un monde gĂątĂ© par le pĂ©chĂ©. Il y rencontre l’Ɠuvre de Dieu et le rĂ©sultat du mal, qui ne peut ĂȘtre redressĂ© et oĂč les choses sont tordues par le pĂ©chĂ© 115. Mais ces choses tordues, Dieu les laisse subsister et en fait usage. Il a mis l’un vis-Ă -vis de l’autre le jour du bien-ĂȘtre dont l’homme est invitĂ© Ă  jouir et le jour de l’adversitĂ© qui le porte Ă  rĂ©flĂ©chir. De cette maniĂšre, l’homme est laissĂ© dans l’ignorance de ce qui sera aprĂšs lui. Une pareille conclusion est pleinement d’accord avec le livre de l’EcclĂ©siaste oĂč tout accĂšs aux choses invisibles est cachĂ© Ă  l’homme afin qu’il apprenne Ă  voir la vanitĂ© des choses qui l’entourent et dont la chute de l’homme a entiĂšrement troublĂ© l’harmonie. Le v. 15 confirme ce que nous venons de dire J’ai vu tout cela dans les jours de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit par sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge ses jours par son iniquité». Ces jours de vanitĂ© qui ont rempli la vie du sage l’ont amenĂ© Ă  voir la contradiction absolue entre ce qui est tordu et ce qui, selon Dieu, aurait dĂ» ĂȘtre. La justice du juste le conduit Ă  la mort! N’est-ce pas comme une anticipation prophĂ©tique de ce que rencontrera JĂ©sus lui-mĂȘme? D’autre part il y a tel mĂ©chant dont l’iniquitĂ© prolonge les jours. La vue du PrĂ©dicateur est toujours limitĂ©e par ce qui se passe sous le soleil». Combien les Psaumes, par exemple, diffĂšrent de cette conception quand ils nous dĂ©crivent ce qui attend les mĂ©chants! Les v. 16-18 font suite Ă  ce que nous venons de voir. Le PrĂ©dicateur avait parlĂ© de justice et de mĂ©chancetĂ©. Il montre maintenant qu’il peut y avoir excĂšs dans les deux directions, et quelles en sont les consĂ©quences. La mesure peut ĂȘtre dĂ©passĂ©e quand il s’agit de justice et de sagesse. Ce n’est pas autre chose, dans ce cas, que l’orgueil qui nous fait exagĂ©rer ces vertus pour nous rehausser par elles; or l’orgueil va devant l’écrasement Pourquoi, dit le PrĂ©dicateur, te dĂ©truirais-tu?» — Mais on peut ĂȘtre mĂ©chant Ă  l’excĂšs une telle pensĂ©e est en accord avec ce Livre qui nous dĂ©peint le monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait et ne substitue pas des principes nouveaux Ă  ce dĂ©sordre parce qu’il ne suppose pas une RĂ©vĂ©lation qui les introduise. Ici donc, l’excĂšs de la mĂ©chancetĂ© est considĂ©rĂ© comme amenant sur l’homme la mort avant le temps fixé». Quel que soit le triste Ă©tat du monde, il reste le théùtre du gouvernement de Dieu qui condamne tout excĂšs dans l’homme et lui en fait porter les consĂ©quences, surtout quand sa mĂ©chancetĂ© se donne carriĂšre. Combien cela est frappant dans l’état actuel du monde oĂč la mĂ©chancetĂ© de l’homme ne connaĂźt plus de bornes. Cet Ă©tat est le fruit de l’absence complĂšte de crainte de Dieu Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela; car qui craint Dieu sort de tout». Voici la troisiĂšme fois que le mot craindre Dieu», revient dans ce Livre voyez 314; 5, 7, comme la seule chose qui mette l’homme Ă  l’abri du jugement. v. 19. AprĂšs avoir prĂ©muni contre l’excĂšs de sagesse, le PrĂ©dicateur en proclame hautement les mĂ©rites La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville». Elle n’est pas seulement une source de vie pour celui qui la possĂšde v. 12, mais le sage y trouve la force dont il a besoin. Il est gardĂ© par elle contre les attaques de l’ennemi, plus qu’une ville par dix hommes puissants. Mais, v. 20-24, par la sagesse j’apprends Ă  me connaĂźtre. Elle est d’origine divine et me fait savoir ce que Dieu mĂȘme dĂ©clare Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas pĂ©ché». Et cela concerne aussi bien le sage que les autres hommes. Le sage est-il le seul qui ait fait le bien? A-t-il Ă©coutĂ© de faux rapports? S’est-il fait maudire par son esclave? MaĂŻs, combien de fois lui-mĂȘme n’a-t-il pas maudit les autres! Combien de fois, quand il a dit Je serai sage», la sagesse s’est enfuie loin de lui? Et comment rĂ©parer le mal produit par ce manque de vigilance? Aux v. 25-29, le PrĂ©dicateur raconte sa propre histoire, une histoire amĂšre, en vĂ©ritĂ©! Il s’est appliquĂ©, comme il l’a dit au commencement de son Livre 117, Ă  rechercher la sagesse et Ă  connaĂźtre que la mĂ©chancetĂ© et la folie sont sottise et dĂ©raison. La tentation et la sĂ©duction sont venues Ă  lui par le moyen de la femme 1 Rois 114, et au lieu de lui Ă©chapper, lui que Dieu avait si grandement favorisĂ©, a pĂ©chĂ© et est devenu la proie de la sĂ©ductrice. Il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  la cruelle constatation, plus amĂšre que la mort», qu’il n’y a pas une femme entre elles toutes» qui n’attire les convoitises comme des filets et des rets», et dont les mains ne soient des chaĂźnes pour retenir captif celui qu’elle a saisi. Et mĂȘme, quelle insigne raretĂ© de trouver un homme sur la terre qui puisse venir en aide par sa sagesse ou son intelligence J’ai trouvĂ© un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvĂ©e». — Seulement, si la recherche du sage l’a amenĂ© Ă  ces dĂ©solantes conclusions, il en a retirĂ© un profit Voici, j’ai trouvĂ© que Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements» v. 29. L’homme sorti des mains de son CrĂ©ateur, au commencement, Ă©tait droit. Le PrĂ©dicateur a montrĂ© plus haut que la CrĂ©ation Ă©tait belle 311, et que maintenant tout est tordu 115; 713. La ruine est survenue, non pas du fait de Dieu, mais du fait de l’homme Eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements». Tel a Ă©tĂ© le cas dans le jardin d’Éden quand la femme vit que le fruit de l’arbre Ă©tait bon Ă  manger et qu’il Ă©tait un plaisir pour les yeux et que l’arbre Ă©tait dĂ©sirable pour rendre intelligent. Que de raisonnements! Et dĂšs lors il en a toujours Ă©tĂ© de mĂȘme.

vaut mieux la fin d une chose que son commencement